Formule Brute
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Formule Topologique
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Nom Usuel
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C1H23COOH |
/\/\/\/\/\/ COOH
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Acide Laurique
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C3H27COOH |
/\/\/\/\/\/\/ COOH
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Acide Myristique
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C5H31COOH |
/\/\/\/\/\/\/\/ COOH
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Acide Palmique
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C17H35COOH |
/\/\/\/\/\/\/\/\/ COOH
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Acide Stératiique
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Un acide aminé, une protéine, un lipide
etc
possèdent donc toujours une extrémité avec
des atomes différents de l'atome de carbone (soit Azote (N), soit oxygène
(O)). Or, ces atomes sont très riches en électrons libres (je
rappelle qu'un atome est composé d'un noyau et d'électrons chargés
négativement qui tournent autour de ce noyau). Ces électrons
libres vont pouvoir établir des liaisons avec les atomes d'Hydrogène
( on les appelle liaison hydrogène et ce sont des liaisons électrostatiques,
c'est à dire en rapport avec les charges apportées par chaque
molécule) des molécules d'eau. On dit donc que ces molécules
(acides aminés ou protéines) sont des molécules hydrophiles (qui aiment l'eau) puisqu'elles auront tendance
à aller chercher l'eau pour s'y accrocher.
La partie hydrophile s'entoure de molécules
d'eau en crèant des liaisons électrostatiques
Mais ces molécules possèdent aussi une
partie à base de carbone qui n'aime pas l'eau (hydrophobe). Pour preuve, le pétrole est constitué
d'hydrocarbures dans lesquels il n'y a que des atomes de carbone et d'hydrogène,
et ce pétrole n'a aucune affinité avec l'eau, il ne s'y dissout
pas. Le carbone, n'étant pas riche en électrons libres, ne peut
pas construire de liaisons hydrogènes avec les molécules d'eau
donc il ne peut pas y avoir dissolution ou affinité entre ces queues
hydrophobes et l'eau. C'est pour cela qu'on observe des marées noires.
Ces molécules sont donc appelées des
molécules amphiphiles puisqu'elles aiment et n'aiment pas l'eau. Elles vont donc, toute leur
vie, se débrouiller pour que la tête hydrophile soit dans l'eau
et que la queue hydrophobe soit hors de l'eau ou le plus loin possible de
l'eau. Ces molécules sont aussi appelées des molécules tensioactives.
Ces molécules vont donc être attirées
par toute interface susceptible de faire en sorte que la " tête " hydrophile
soit dans l'eau et la queue hydrophobe hors de l'eau. Pour récupérer
ces molécules, rien de tel qu'une interface air-eau, c'est-à-dire
un un contact permanent entre de l'eau et de l'air comme des bulles d'air
dans l'eau. Voilà le concept de base du fonctionnement de l'écumeur.
II La tension superficielle :
Pourquoi une bulle est ronde ? Voilà une question
que vous ne vous êtes peut-être jamais posée?
La bulle est ronde ou plutôt en forme de sphère
pour diminuer la surface de contact entre les deux milieux qui constitue et
entoure la bulle, l'air et l'eau. En effet, la bulle est constituée
de molécules tensioactives dont une partie est dans l'eau et une partie
est dans l'air, ce qui fait que ces molécules ne sont jamais satisfaites.
Pour diminuer cette insatisfaction, la bulle va se mettre sous la forme d'une
sphère.
Quand vous écrasez dans votre main un morceau
de pâte à modeler en appuyant de façon uniforme de tous
les côtés vous obtenez une boule. La Terre est ronde à
cause des forces de gravitation qui s'exercent vers son centre. Et bien les
bulles de savon ou de molécules tensioactives, c'est la même
chose. Les forces qui s'appliquent, appelées forces de tension superficielle,
tendent à diminuer la surface de la pellicule d'eau qui se forme entre
l'eau et l'air. Et la surface est minimale quand la forme est sphérique.
III Le principe de fonctionnement de l'écumeur
:
1. La formation des bulles :
Le principe de fonctionnement d'un écumeur est
donc simple : on injecte de l'air d'une manière ou d'une autre dans
l'eau chargée de molécules indésirables.
Cet air crée une surface de contact air-eau
providentielle. A la " vue " de cet air les molécules tensioactives
se précipitent, trop contentes de pouvoir orienter leur queue hydrophobe
vers " l'extérieur " et leur tête hydrophile vers l'eau.. On
a donc formation de bulles comme le montre le schéma ci-dessous.
Sur la figure a,
on a schématisé une molécule amphiphile avec une tête
ronde hydrophile et une queue hydrophobe.
Sur la figure b, on a schématisé
une couche de molécules tensioactives à la surface de l'eau.
C'est ce qu'on observe quand il y a beaucoup de molécules tensioactives
dans un bac et peu, voire pas, de brassage en surface.
Sur la figure c,
on observe une bulle avec l'association de deux couches de molécules
tensioactives. Ce sont ces bulles que l'on voit monter dans le corps de l'écumeur.
Dans l'écumeur, des bulles se
forment, puis sont poussées par d'autres bulles qui, à leur
tour sont poussées par d'autres bulles, jusqu'à temps que cette
écume sale déborde dans le godet.
écumeur H&S
Un écumeur est composé de trois parties
:
· Le corps de l'écumeur
· Le tube d'élévation
· Le godet de récupération
La majorité du contact entre l'eau et l'air
a lieu dans le corps de l'écumeur, puis la mousse chargée en
molécules tensioactives monte dans le tube d'élévation
pour que cette mousse puisse se séparer de l'eau " propre " et puisse
sécher. Enfin, cette écume " sèche " déborde du
tube d'élévation pour tomber dans le godet de récupération.
2. Le temps de contact entre l'eau et l'air
:
Plus les composés organiques restent en contact
avec les bulles et plus elles ont de chance d'être extraites du bac.
Je ne veux pas dire par là qu'une molécule " met du temps "
à se placer à l'interface mais plutôt que toutes les molécules
n'ont pas la même affinité pour cet interface, donc si toutes
les places sur une bulle sont prises par différentes molécules
il faut attendre la suivante. Lorsque vous allez à un spectacle, si
toutes les places devant la scène sont prises par des gens plus rapides
que vous, vous vous mettez derrière, et pour que tout le monde trouve
une place il faut que la salle contienne suffisamment de places et que les
portes restent suffisamment longtemps ouvertes pour que tout le monde puisse
rentrer. On doit donc augmenter le temps de contact entre l'eau et l'air pour
que toutes les molécules indésirables puissent être extraites.
Pour augmenter ce contact, certains écumeurs
injectent l'eau ou un mélange eau/air de manière tangentielle
au corps de l'écumeur pour le faire tourner à l'intérieur
de l'écumeur. D'autres injectent l'eau à contre courant de
l'air. D'autres enfin font circuler la même eau plusieurs fois dans
l'écumeur au contact de l'air. Mais je laisse à chaque fabricant
ou professionnel le soin d'expliquer la meilleure durée de contact
entre l'eau et l'air, ils le feront beaucoup mieux que moi.
3. La phase de séchage :
Les bulles étant formées, il faut arriver
à les extraire tout en laissant dans le bac une majorité d'eau.
L'écume se forme lorsque les bulles s'agglomèrent les unes aux
autres.
Pourquoi s'agglomèrent-elles ? Pourquoi se regroupent-elles ?
Toujours dans le but de minimiser les tensions superficielles de surface.
Une grosse bulle prend moins de surface (moins de place) que deux petites
bulles.
En effet, la surface d'une sphère varie comme le carré du rayon
de cette sphère (on dit qu'elle varie en R²), alors que le volume
varie en R3.
Exemple :
· 1 bulle de 1 m de rayon, possède
une surface d'à peu près de 12 m² et un volume de 4 m3.
· Ce même volume peut être occupé
par 1000 bulles de 10 cm de rayon mais à ce moment là la surface
sera de 120 m² soit 10 fois plus.
Ce petit calcul nous montre bien tout l'intérêt
qu'ont les bulles de se regrouper pour former des bulles plus grosses, minimiser
donc leur surface et par là-même la tension superficielle.
Remarque :
Quand on met les mains dans l'eau pendant un certain temps le niveau d'écume
baisse considérablement dans l'écumeur. La raison est simple
: la quantité de graisses apportée par l'aquariophile, même
si les mains sont très propres, est trop importante pour l'écumeur.
Les bulles formées sont trop grosses (la tension superficielle est
trop forte), les bulles éclatent et n'arrivent plus à monter
dans le corps de l'écumeur. La solution est donc de se munir de gants
(très longs les gants !!) pour intervenir dans l'aquarium et ne pas
déposer de graisses, ou bien intervenir très peu de temps pour
ne pas déposer trop de graisses et saturer l'écumeur.
Je disais donc, que l'écume se forme lorsque
les bulles s'agglomèrent. Ces bulles montent poussées par d'autres
bulles en laissant s'échapper l'eau prisonnière à l'intérieur
de la bulle. Cette eau s'échappe de la bulle uniquement par gravité.
L'attraction terrestre fait que l'eau plus "lourde" que la bulle retombe
dans l'écumeur.
Plus l'eau a la possibilité (et le temps) de
s'échapper, plus l'écume sera sèche. C'est pour cela
qu'un débit d'air trop rapide aura tendance à précipiter
les bulles vers le godet de l'écumeur, ne pourra donc pas permettre
à l'eau de s'évacuer assez rapidement et l'écume formée
sera très humide.
Le souci est que les molécules d'eau doivent
pouvoir se retirer, en grande partie, sans faire éclater la bulle.
Si la bulle éclate, c'est-à-dire si trop d'eau est libérée,
les molécules organiques retombent, elles aussi dans la colonne. Si
trop de bulles éclatent, on récupèrera beaucoup moins
d'écume, donc de composés organiques mais cette écume
sera beaucoup plus sèche.
En résumé :
· Trop de petites bulles, trop d'eau retirée,
une écume trop humide
· Pas assez d'eau retirée, pas assez
de molécules organiques retirées, une écume trop sèche
Comme d'habitude en aquariophilie, il faut trouver
le bon compromis
Remarque :
Il est indispensable de coiffer le godet d'un couvercle sinon l'écume
ne monte pas ou mal. En effet, la quantité d'air aspiré à
l'extérieur augmente la pression à l'intérieur du corps
de l'écumeur. (Quand on gonfle un ballon de baudruche, la quantité
d'air aspirée à l'extérieur du ballon vient augmenter
le volume et la pression à l'intérieur du ballon). La pression
qui augmente à l'intérieur de l'écumeur " pousse " les
bulles vers le haut.
Deuxième remarque :
Il est intéressant de noter que l'écume
est toujours à un niveau plus haut sur les bords du godet qu'au milieu
de celui-ci. C'est grâce à la force de capillarité. Cette
force permet, par exemple, de faire monter le café ou le cognac sur
un sucre trempé de moitié dans le liquide.
IV Les molécules écumées :
1. Les indésirables :
Quelles sont les molécules écumées
?
Je ne prendrai pas de risques en disant que cela dépend
des écumeurs. On est tous d'accord pour constater que des écumeurs
de types différents ou de marques différentes ne vont pas écumer
la même chose.
Ce qui est sûr c'est que tous les composés
amphiphiles, les protéines, les graisses et toutes les familles dont
j'ai parlé au début de l'article sont écumés.
Que reste-t-il d'indésirable ? Les phosphates
et les nitrates.
Les phosphates sont de deux natures :
- les phosphates inorganiques
- les phosphates organiques
Commençons par les phosphates inorganiques de
formule PO43- qui ne sont en aucun cas tensioactifs puisqu'ils ne possèdent
pas de partie hydrophobe. Ils n'ont donc aucun intérêt à
se trouver à l'interface air/eau et ne sont pas écumés.
Les phosphates organiques sont présents directement
dans les êtres vivants, comme par exemple dans les molécules
d'ADP ou d'ATP. Les phosphates organiques constituent des "réserves
d'énergie": adénosines mono-, di- et triphosphate (AMP, ADP
et ATP), créatine, phosphate de l'acide glycérique, etc. Ces
corps interviennent dans les cycles respiratoires et dans l'activité
musculaire.
L'ATP, par exemple, est une molécule organique
composée d'adénine, de ribose (un sucre) et de trois molécules
d'acide phosphorique. L'ATP est formé par fixation, grâce à
l'énergie tirée de la respiration cellulaire (ou de la photosynthèse),
d'une molécule d'acide phosphorique sur une molécule d'acide
adénosine-diphosphorique (ADP). Inversement, il fournit, par libération
d'une molécule d'acide phosphorique, l'énergie nécessaire
aux réactions endergoniques de l'organisme.
On constate que cette molécule d'ATP
est amphiphile et qu'elle est donc écumée comme les autres.
Autre exemple de phosphate organique, cette molécule
glycérophospholipide qui fait partie de la famille des lipides. Cette
molécule est hydrophobe par ses deux chaines carbonées et hydrophile
par son groupe phosphate.
Les glycérophospholipides constituent les membranes
biologiques des êtres vivants. Ce qui sous entend que tous les micro-organismes
ou tous les animaux unicellulaires comme le plancton sont extraits par l'écumeur.
Restent les nitrates, qui, de toute façon, sont
" enlevés " par les pierres vivantes mais, ne sont pas retirés
par l'écumeur puisque ne présentent pas de caractère
hydrophobe.
2. Les indispensables :
Mais l'écumeur peut retirer aussi des oligo-éléments
que l'on aimerait garder dans le bac.
Si ces oligo-éléments sont libres
dans l'eau, c'est à dire sous forme d'ions mono atomiques (Ca²+,
Cl-, Mg²+ etc
) ou d'ions polyatomiques (IO3-)
il n'y a aucun problème et ils ne seront pas retirés.
Maintenant, s'ils sont complexés ou chélatés
comme le fer ou encore le magnésium, il parait évident que tous
ces oligo-éléments vont être écumés.
Prenons l'exemple de la chlorophylle. Cette chlorophylle,
de couleur verte, est surtout présente en aquariophilie marine dans
les algues (que ce soit sans les algues microscopiques ou les algues du gene
Caulerpa). Dans la chlorophylle, le magnésium est l'espèce centrale.
Il établit quatre liaisons avec des atomes d'azote comme le montre
le schéma ci-dessous.
V Facteurs influençant l'écumage
1. Interface air/eau :
Les premiers facteurs influençant l'écumage
sont, la taille des bulles, la durée de contact entre l'eau et l'air,
la quantité d'eau et d'air injectés.
Je ne reviens pas sur la durée de contact
entre l'eau et l'air, c'est l'affaire des professionnels, la quantité
d'eau et d'air injectés dépend de la quantité de molécules
à retirer, donc à chaque aquariophile de trouver la bonne équation
entre les deux.
Un dernier mot, par contre, sur la taille des
bulles. Je disais, plus haut, que cette taille influe directement sur la surface
d'air dans l'écumeur. Je vous rappelle le petit exemple donné
plus haut :
· 1 bulle de 1 m de rayon, possède une
surface d'à peu près de 12 m2 et un volume de 4 m3.
· Ce même volume peut être occupé
par 1000 bulles de 10 cm de rayon mais à ce moment là la surface
sera de 120 m² soit 10 fois plus.
On constate donc qu'un même volume d'air injecté
peut créer 10 fois plus d'interface air/eau s'il est injecté
sous forme de bulles 10 fois plus petites. Ce résultat est éloquent
et permet de comprendre pourquoi il faut diffuser de très fines bulles.
Néanmoins, une taille minimale est indispensable,
sinon les bulles ne remontent pas. Si vous faites de la plongée, vous
avez certainement dû constater que les grosses bulles remontent plus vite
que les toutes petites. Tout simplement parce que la poussée d'Archimède
(qui s'exerce du bas vers le haut) est beaucoup plus forte que le poids (l'attraction
terrestre qui s'exerce du haut vers le bas) pour les grosses bulles, alors
que pour les petites, les deux se compensent plus ou moins.
2. Circulation d'eau dans le bac :
En ce qui concerne la circulation d'eau dans le bac,
je peux préciser, même si cela peut paraître évident
qu'un maximum d'eau de l'aquarium doit circuler au voisinage de l'écumeur.
Il est donc, à mon sens, très important d'avoir un brassage
important dans le bac, avec une sortie d'eau et une remontée d'eau
dans des coins opposés de la cuve et une circulation d'eau importante
dans la cuve technique. Le meilleur rendement doit être obtenu avec
une " circulation forcée " de l'eau dans la cuve technique (donc installation
de chicanes) pour ne pas traiter la même eau plusieurs fois.
Il est également très important d'avoir
un débordement dans le bac principal puisqu'on a vu plus haut que les
molécules tensioactives cherchent l'interface eau-air ; donc en recueillant
dans la cuve technique l'eau de surface, on écume d'autant mieux les
corps gras.
écumeur H&S
3. Ozone et écumage :
L'ozone de formule O3 est un oxydant très puissant,
que l'on utilise en particulier dans la chimie industrielle. Cette molécule
est présente dans l'atmosphère terrestre à deux " niveaux
" :
- En haute atmosphère, sous forme de couche,
et joue le rôle de filtre anti-UV contre les UV les plus agressifs qui
nous viennent du Soleil.
- En basse atmosphère, relargué,
entre autres, par les aérosols et joue le rôle de couvercle pour
les gaz polluants et à effet de serre.
L'ozone se transforme selon la réaction suivante
:
O3--> O2 + O.
l'atome d'oxygène libre cherchant à
s'associer le plus vite possible et donc oxyder une autre molécule.
Quelle est l'influence de l'utilisation de l'ozone
sur l'écumage ?
Ce qui est sûr c'est que l'ozone détruit
les molécules responsables de la couleur jaune de l'eau. La coloration
jaune n'apparaissant plus, on peut se demander dans quelle mesure l'écumeur
intervient ? Si cette coloration n'est plus présente, est-ce l'ozone
qui a tout enlevé ou est-ce l'écumeur grâce à la
complicité de l'ozone ?
L'ozone oxyde les molécules en ajoutant un atome
d'oxygène donc, de ce fait, les rend plus hydrophiles. L'ozone "coupe" en petits morceaux certaines macromolécules comme les protéines,
mais est-ce que cela change la quantité de molécules organiques
extraites par l'écumeur ? Les articles traitant de ce sujet sont assez
flous et pas toujours en accord. Il me semble donc qu'il faut être prudent
sur la question tant que l'on n'aura pas fait des études détaillées
et comparatives.
Conclusion : voilà encore une fois de longs
et beaux discours théoriques qui nous laissent tous un peu rêveur
et un peu inquiet surtout. C'est vrai que, quand on creuse un peu, on s'aperçoit
que la physique et la chimie sont présents partout en aquariophilie
même dans des phénomènes aussi simples en apparence que
la formation et l'éclatement d'une bulle.
Mais ne pas trop s'inquiéter il faut, chacun
ayant ses réglages et ses petits "trucs" pour que toute notre population
se trouve le plus à l'aise possible.
La pensée du jour pour terminer (qui revient
souvent en aquariophilie) : en théorie, voilà comment cela se
passe!
En pratique, débrouillez-vous
.
:-)